Ces cinq révélations du mois de la mode font primer la polymathie et le degré de "cool"… à l’heure où les futures supermodels se repèrent sur Instagram davantage que dans la rue.

Plus que deux semaines avant l'arrivée tant attendue du printemps et pour fêter les premiers rayons de soleil, rien de mieux que d'ajouter une indémodable paire de sneakers blanches à votre vestiaire.

Dans le fumoir du nouveau club parisien Sacré, c'est Alexa Chung ou Luka Sabbat qui auraient pu vous taxer une cigarette. Côté dancefloor, Gigi Hadid, Virgil Abloh, Chloé Sevigny et Odell Beckham Jr (entre autres A-listers) jouaient des coudes au son de Jamie XX, James Murphy, DJ Acid et Helena Hauff. Retour en images sur LA soirée qu'il ne fallait pas rater lors de cette Paris Fashion Week.

Aussi proche de la fiancée de Frankenstein que de Morticia Addams, la fille Prada de l'hiver est un syncrétisme à elle toute seule.

Omniprésent, mais souvent méconnaissable, il semble dorénavant réservé aux initiés. Décodage par des gourous du logo.

À tous les opposants aux “dad shoes”, ces baskets gros volume dont l’hémorragie semble impossible à stopper, Prada recommande la “MLN 70”, inspirée des seventies légères et insouciantes. Une thérapie bienvenue.

Sur son profil, Prada propose à l'écoute la playlist de sa campagne printemps-été 2019, pulsée par les musiques de Frédéric Sanchez.

Pièce maîtresse du vestiaire des moins de 18 ans, le short moulant en jersey élargit son spectre au tailoring. Et se la joue bon chic bon genre.

Avec son dernier-né, Moonlight Shadow, Prada redéfinit les contours de la fragrance orientale.

À vous qui entrez dans l'hiver habillée en chef de chantier, le passe-montagne haut, L'Officiel déroule le menu des réjouissances de la saison printemps-été 2019. Le pitch ? Une montée du Ventoux à pratiquer en bandana, robe meringue sous blouson verni... et cabas géant.

Par un simple jeu de logo, la collection réinterprète subtilement et rafraîchit l’esprit des icônes de la maison.

Chez Prada, la mode, comme l’art, s’expérimente. Entrer en interaction avec l’environnement factuel et sonore, puis passer le vêtement à l’épreuve du feu… Le défilé printemps-été 2019, présenté le 20 septembre à Milan, s’est révélé un cas d’école autant qu’un grand moment de mode.