Dans le jardin zen de JW Anderson
LE SET
C'est dans l'enceinte du Yeomanry House, au sein d'un décor relativement dépouillé en référence au Japon, que les mannequins foulaient le jardin zen de JW Anderson.
LE PITCH
Chouchou de la London Fashion Week, Jonathan W. Anderson poursuit son ascension en portant plus que jamais son attention sur les volumes et proportions. Pour l'automne-hiver 2019, les matières sont vectrices de silhouettes fluides, modernes, en mouvement. Prôneur de "l'imprévisible" dans son processus créatif, Jonathan confie après le show : "Peu importe ce que j'ai l'air de faire, j'aime les choses qui se "font". Les robes surpiquées de tissu sont dûes au hasard. On expérimentait avec les couleurs, comme si on piquait une aiguille géante à travers le tissu. Finalement, cette idée est restée." La coiffure, ultra-wet et signée Anthony Turner, dessinait des vaguelettes sur le haut du front des mannequins, tandis que les casquettes, portées haut sur la tête, semblaient lutter contre la gravité — lorsqu'elles ne sont pas portées version sac à main.
LE LOOK PHARE
Une robe dans les tons azur imprimée Nazar Boncuk, largement ceinturée et réhaussée d'une grosse maille dorée autour du cou. Le look anti-mauvais oeil assuré.
Crédit photo : InDigital