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La Vallée Village soutient le Musée des Arts Décoratifs

La Vallée Village a restauré cinq pièces textiles - de la fin du 16e siècle aux années 70 - du Musée des Arts Décoratifs, qui expose ces nouveaux chefs-d'oeuvre jusqu'au 22 octobre 2017.
plant floral design art graphics pattern

La Vallée Village a toujours entretenu des liens assez forts avec l’art et la culture, notamment à travers sa galerie d’art, mais aussi via le mécénat (elle soutient par exemple en ce moment l’exposition Irving Penn au Grand Palais). Avec le Musée des Arts Décoratifs elle crée cette fois-ci un mécénat d’un nouveau genre, basé sur la restauration de 5 pièces issues des collections textiles de l’institution qui n’avaient jamais été montrées au public, en raison de leur état de détérioration avancée. Ces chefs-d’oeuvre - qui racontent chacun un récit de mode singulier, de la vie d’une lectrice de Marie-Antoinette à celle un peu folle d’Andrée Spinelly - sont désormais exposés dans les Period Rooms du musée. En parallèle, La Vallée Village rhabille les façades de ses maisons-boutiques avec des papiers-peints anciens, issus des collections du musée des Arts Décoratifs.  

www.lavalleevillage.com

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Sans doute portée par un aristocrate français de la cour royale dans la première moitié du XVIe siècle, cette cape en velours de soie rouge et broderies au fil d’or est l’une des pièces les plus anciennes et les plus rares des collections (il n’en existe qu’une dizaine dans le monde).
Charles-Frederick Worth est l’inventeur de la haute couture parisienne. À la fin du XIXe siècle, il fut le premier à apposer sa griffe sur un modèle et à proposer ses silhouettes deux fois par an. C’est lui qui imagine cette robe en soie Gros de Tour – d’une qualité particulièrement luxueuse - orange, à motifs de plumes, commandée par Mme Franklin-Gordon Dexter et offerte au musée des Arts décoratifs en 1920, sur les conseils de Jean-Philippe Worth, fils du couturier.
Charles-Frederick Worth est l’inventeur de la haute couture parisienne. À la fin du XIXe siècle, il fut le premier à apposer sa griffe sur un modèle et à proposer ses silhouettes deux fois par an. C’est lui qui imagine cette robe en soie Gros de Tour – d’une qualité particulièrement luxueuse - orange, à motifs de plumes, commandée par Mme Franklin-Gordon Dexter et offerte au musée des Arts décoratifs en 1920, sur les conseils de Jean-Philippe Worth, fils du couturier.
Charles-Frederick Worth est l’inventeur de la haute couture parisienne. À la fin du XIXe siècle, il fut le premier à apposer sa griffe sur un modèle et à proposer ses silhouettes deux fois par an. C’est lui qui imagine cette robe en soie Gros de Tour – d’une qualité particulièrement luxueuse - orange, à motifs de plumes, commandée par Mme Franklin-Gordon Dexter et offerte au musée des Arts décoratifs en 1920, sur les conseils de Jean-Philippe Worth, fils du couturier.
Parmi les muses de la mode figure Andrée Spinelly, célèbre actrice de la Belle Epoque et grande amie de Paul Poiret. Les recherches pour la restauration de la robe tunique en velours de soie brodée ont permis de retrouver la photo de ce modèle réalisé en 1922 par le couturier pour « Spi », accessoirisé. Un « look » donc, composé avant l’heure.
Parmi les muses de la mode figure Andrée Spinelly, célèbre actrice de la Belle Epoque et grande amie de Paul Poiret. Les recherches pour la restauration de la robe tunique en velours de soie brodée ont permis de retrouver la photo de ce modèle réalisé en 1922 par le couturier pour « Spi », accessoirisé. Un « look » donc, composé avant l’heure.
La robe à la française en soie florale à effet de chaîne et décor de passementerie (vers 1770) aurait appartenu à une lectrice de Marie-Antoinette. Peut-être à la jeune Sidonie Laborde qui resta au service de la Reine, jusqu’à ses derniers jours.
La robe à la française en soie florale à effet de chaîne et décor de passementerie (vers 1770) aurait appartenu à une lectrice de Marie-Antoinette. Peut-être à la jeune Sidonie Laborde qui resta au service de la Reine, jusqu’à ses derniers jours.
Parmi les muses de la mode figure Andrée Spinelly, célèbre actrice de la Belle Epoque et grande amie de Paul Poiret. Les recherches pour la restauration de la robe tunique en velours de soie brodée ont permis de retrouver la photo de ce modèle réalisé en 1922 par le couturier pour « Spi », accessoirisé. Un « look » donc, composé avant l’heure.
Charles-Frederick Worth est l’inventeur de la haute couture parisienne. À la fin du XIXe siècle, il fut le premier à apposer sa griffe sur un modèle et à proposer ses silhouettes deux fois par an. C’est lui qui imagine cette robe en soie Gros de Tour – d’une qualité particulièrement luxueuse - orange, à motifs de plumes, commandée par Mme Franklin-Gordon Dexter et offerte au musée des Arts décoratifs en 1920, sur les conseils de Jean-Philippe Worth, fils du couturier.
La robe à la française en soie florale à effet de chaîne et décor de passementerie (vers 1770) aurait appartenu à une lectrice de Marie-Antoinette. Peut-être à la jeune Sidonie Laborde qui resta au service de la Reine, jusqu’à ses derniers jours.
Parmi les muses de la mode figure Andrée Spinelly, célèbre actrice de la Belle Epoque et grande amie de Paul Poiret. Les recherches pour la restauration de la robe tunique en velours de soie brodée ont permis de retrouver la photo de ce modèle réalisé en 1922 par le couturier pour « Spi », accessoirisé. Un « look » donc, composé avant l’heure.
Charles-Frederick Worth est l’inventeur de la haute couture parisienne. À la fin du XIXe siècle, il fut le premier à apposer sa griffe sur un modèle et à proposer ses silhouettes deux fois par an. C’est lui qui imagine cette robe en soie Gros de Tour – d’une qualité particulièrement luxueuse - orange, à motifs de plumes, commandée par Mme Franklin-Gordon Dexter et offerte au musée des Arts décoratifs en 1920, sur les conseils de Jean-Philippe Worth, fils du couturier.
Lors de leurs promenades dans les parcs, endroits pour voir et être vus, les femmes de l’aristocratie française de la fin du XVIIIème siècle arboraient des « vêtements de jardin» afin d’être totalement assorties, raffinement suprême, au paysage.
Sans doute portée par un aristocrate français de la cour royale dans la première moitié du XVIe siècle, cette cape en velours de soie rouge et broderies au fil d’or est l’une des pièces les plus anciennes et les plus rares des collections (il n’en existe qu’une dizaine dans le monde).
Sans doute portée par un aristocrate français de la cour royale dans la première moitié du XVIe siècle, cette cape en velours de soie rouge et broderies au fil d’or est l’une des pièces les plus anciennes et les plus rares des collections (il n’en existe qu’une dizaine dans le monde).
Sans doute portée par un aristocrate français de la cour royale dans la première moitié du XVIe siècle, cette cape en velours de soie rouge et broderies au fil d’or est l’une des pièces les plus anciennes et les plus rares des collections (il n’en existe qu’une dizaine dans le monde).
La robe à la française en soie florale à effet de chaîne et décor de passementerie (vers 1770) aurait appartenu à une lectrice de Marie-Antoinette. Peut-être à la jeune Sidonie Laborde qui resta au service de la Reine, jusqu’à ses derniers jours.

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