Ce mois-ci, le roman-photo sort du formol grâce à l’incroyable exposition du Mucem, à Marseille
–accompagnée d’un catalogue flamboyant –,
qui retrace l’épopée de cette presse populaire
mal aimée des intellectuels, un médium à
la forme unique et au sentimentalisme exacerbé,
plus subversif qu’il n’y paraît.
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Qualcosa che si chiama onore, tiré de la revue Bolero film n°675, 1960. Elio Monteverdi (scénario et mise en scène), Giuliano Lonati (réalisation) avec Mario Valdermarin et Edy Campagnoli.
Couverture de Nous Deux no1 277, 1971.
Couverture de Satanik no14, 1967.
Tentadora, no contestes (détail de Tentatrice, ne réponds pas), tiré de Fotonovelas Rollán, Madrid Espagne, 1984.
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Diapositive de roman-photo, Piero Orsola, Rome, 1960.
Maquette originale du ciné-roman À bout de souffle, de Raymond Cauchetier, d’après le film de Jean-Luc Godard, avec Jean Seberg et Jean-Paul Belmondo (publié dans Le Parisien libéré), Paris, 1969.
Cet article est actuellement visible dans le numero de novembre du Jalouse