Pourquoi il faut aller chez Takaramono de toute urgence
Le duo
Tresor Food, créé l’année dernière, s’est fait une place en quelques mois à peine grâce ses événements arlésiens, son Takaramono éphémère et ses caterings de défilés qu’il continue d’assurer. Il est composé d’Alexandre Arnal, jeune chef ultra-prometteur passé par L’Ouvre-boîte, à Arles, rompu à la gastronomie japonaise après des mois passés là-bas, et Jonathan Ouanounou, DJ et curateur sonore du lieu. Les voilà installés pour de bon, passant d’un pop-up du week-end à une adresse permanente, ouverte non-stop du déjeuner au dîner.
Le lieu
Le Petite Amour était rattaché au Grand Amour, signé par le trio formé de l’hôtelier star Thierry Costes, son associé Emmanuel Delavenne et l’artiste pluridisciplinaire André Saraiva, déjà à l’origine de l’Hôtel Amour. Il s’agit d’un bar mignon où se devine un peu partout la patte rose pâle d’André, qui passe entièrement entre les mains de Tresor Food et prend le nom permanent de Takaramono. Avant un changement de déco à la rentrée, on découvre un grand comptoir en bois où s’accouder toute la journée, et enfilade de tables de bistrot et la cuisine semi-ouverte où Alexandre Arnal s’affaire désormais sans interruption.
La carte
Toujours nippo-camarguaise le soir avec ses assiettes inspirées à partager avec des vins nature et des tasses de saké, elle propose désormais à l’heure du déjeuner des sandwichs aux buns moelleux signés du restaurateur et boulanger Thierry Breton, tradi au pastrami, réconfortant au bacon de veau ou plus healthy en version végétarienne. Entre les deux, l’endroit se transforme en coffee-shop, avec ses gâteaux sans gluten Baked Box et du café Caron, accueillant la faune de freelances du quartier, qui vient y travailler toute la journée. Idéal pour réseauter.