Qui va gagner le Prix LVMH ?
Déjà bien implantée dans le calendrier londonien, la créatrice anglaise habille des baby dolls fans de techno. Elle a lancé sa marque après avoir costumé des amies pour une soirée d'anniversaire.
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S'il avait pu voyager dans le temps, cet Anglais d'origine syrienne se serait propulsé au XVIe siècle, sous Élisabeth Iʳᵉ. À défaut, il crée des robes collets montés en popeline, plébiscitées par Karl Lagerfeld.
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Il a fallu deux saisons au Français Antonin Tron et à son label Atlein pour s'imposer dans le calendrier parisien. Déjà lauréat de l'Andam en 2016, cet obsessionnel du drapé réussira-t-il le doublé ?
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Sa première collection, "Radical Call for Love", s'arrache chez Broken Arm, Dover Street Market, et a séduit le jury Galeries Lafayette à Hyères. En plus de ça, la Française trouve le temps de travailler chez Balenciaga.
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Danoise d'origine, Cecilie s'est lancée il y a deux ans, après un MA au Royal College of London. Entre Renaissance et 19e siècle anglais, ses collections font beaucoup de bruit à Copenhague...
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Si elle s'est fait connaître par ses bijoux emphatiques, parfois grunge, l'Américaine Yoon Ahn, du label "Ambush", a enrichi sa palette de vêtements street. Elle est dans les petits papiers de Pharrell Williams.
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C'est à New York que cette créatrice russe a présenté sa première collection pour hommes, en février dernier. Un vestiaire tous azimuts, fait de matériaux récyclés ou récupérés, qui incite à consommer autrement.
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Et si la culture underground rencontrait le tailoring ? Enfant des années 1990, le Japonais Kozaburo Akasaka s'est formé à New York, chez Thom Browne, avant de lancer sa propre marque masculine.
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