CHANEL accompagne le film The End, une com&eacute;die musicale dystopique engag&eacute;e, port&eacute;e par Tilda Swinton.

La Maison <a href="https://www.lofficiel.com/fashion-week/chez-chanel-une-symphonie-chromatique-de-legerete-haute-couture" target="_blank" rel="noopener">Chanel</a> accompagne le projet cin&eacute;matographique ambitieux du r&eacute;alisateur Joshua Oppenheimer, The End, une com&eacute;die musicale dystopique qui s'interroge sur les menaces li&eacute;es aux crises climatiques et aux in&eacute;galit&eacute;s sociales. Ce film, marqu&eacute; par sa profondeur artistique et ses enjeux sociaux, a fait ses d&eacute;buts en avant-premi&egrave;re au Festival de Telluride le 31 ao&ucirc;t 2024, avant de briller au Festival international du film de Toronto et au Festival international du film de Saint-S&eacute;bastien. Il a ensuite &eacute;t&eacute; projet&eacute; lors de la Berlinale le 16 f&eacute;vrier 2025, o&ugrave; l&rsquo;actrice principale, Tilda Swinton, s&rsquo;est vue attribuer un Ours d&rsquo;Or d&rsquo;honneur pour l&rsquo;ensemble de sa carri&egrave;re.

The End : une r&eacute;flexion sur l&rsquo;humanit&eacute; et la survie

The End nous transporte dans un univers apocalyptique o&ugrave; une famille tente de survivre dans un bunker luxueux, enterr&eacute; &agrave; pr&egrave;s d&rsquo;un kilom&egrave;tre sous terre. La derni&egrave;re famille humaine &mdash; compos&eacute;e de Mother (Tilda Swinton), Father (Michael Shannon), Son (George Mackay) et Daughter (Moses Ingram) &mdash; s'efforce de maintenir un semblant de normalit&eacute; et de beaut&eacute; dans un environnement moribond. L'intensit&eacute; du film repose sur des chansons poignantes qui ponctuent le r&eacute;cit, compos&eacute;es par Josh Schmidt et &eacute;crites par Joshua Oppenheimer lui-m&ecirc;me. Ces moments musicaux, empreints de nostalgie, illustrent les luttes internes des personnages, cherchant &agrave; raviver l&rsquo;espoir, l'amour et la r&eacute;demption dans un monde en d&eacute;clin.

Le soutien pr&eacute;cieux de Chanel &agrave; la cr&eacute;ation cin&eacute;matographique

En soutenant ce projet cin&eacute;matographique, <a href="https://www.lofficiel.com/industry-trends/matthieu-blazy-est-nomme-directeur-artistique-de-chanel" target="_blank" rel="noopener">Chanel</a> t&eacute;moigne de son engagement en faveur de la cr&eacute;ation &eacute;mergente, ambitieuse et engag&eacute;e. Ce film marque &eacute;galement un tournant dans la carri&egrave;re de Joshua Oppenheimer, qui signe ici son premier long-m&eacute;trage de fiction apr&egrave;s plusieurs documentaires remarqu&eacute;s, dont The Act of Killing (2013) et The Look of Silence (2015). Ces derniers avaient re&ccedil;u des distinctions prestigieuses, dont des prix &agrave; la Mostra de Venise et aux British Academy Film Awards, tout en &eacute;tant nomm&eacute;s aux <a href="https://www.lofficiel.com/pop-culture/disney-diffusera-la-97-ceremonie-des-oscars" target="_blank" rel="noopener">Oscars</a> en 2014 et 2016.
Le soutien de la Maison &agrave; ce projet s'inscrit dans une d&eacute;marche plus large visant &agrave; promouvoir l&rsquo;art au-del&agrave; des fronti&egrave;res de la mode, en soutenant des &oelig;uvres engag&eacute;es qui interrogent et provoquent. La collaboration avec Joshua Oppenheimer et son &eacute;quipe montre ainsi l&rsquo;implication de Chanel dans des cr&eacute;ations artistiques profond&eacute;ment ancr&eacute;es dans les enjeux contemporains.

Tilda Swinton : l&rsquo;incarnation d&rsquo;une &eacute;l&eacute;gance intemporelle et engag&eacute;e

Tilda Swinton, ambassadrice Chanel&nbsp; depuis plus d'une d&eacute;cennie, incarne &agrave; la perfection le r&ocirc;le de Mother, un personnage &agrave; la fois r&eacute;sistant et &eacute;l&eacute;gant, qui cherche &agrave; pr&eacute;server la beaut&eacute; dans un monde d&eacute;vast&eacute;. Son interpr&eacute;tation est d'une puissance &eacute;motionnelle rare, magnifiant l&rsquo;intensit&eacute; de son personnage qui, dans le bunker, trouve un ultime refuge dans la mode et l&rsquo;esth&eacute;tique. Ses tenues, con&ccedil;ues par la Maison Chanel, ne sont pas seulement des v&ecirc;tements, mais des symboles de sa volont&eacute; de r&eacute;sister &agrave; l&rsquo;effondrement du monde ext&eacute;rieur.
Les costumes imagin&eacute;s par la costumi&egrave;re Frauke Firl (Antichrist, Hannah Arendt, L&rsquo;&eacute;tau de Munich) ne sont pas seulement des &eacute;l&eacute;ments visuels, mais aussi des &eacute;l&eacute;ments narratifs qui jouent un r&ocirc;le cl&eacute; dans l&rsquo;&eacute;volution du personnage. Tilda Swinton porte tout au long du film des silhouettes significatives : un tailleur en tweed &agrave; carreaux aux teintes automnales, un pyjama en soie marine, un ensemble en soie rouge de la collection M&eacute;tiers d'art 2021/22, ou encore un maillot de bain de la Maison ERES. Ces choix vestimentaires ne sont pas anodins ; ils soulignent sa qu&ecirc;te d&rsquo;une identit&eacute; visuelle qui r&eacute;affirme sa place dans un monde qui s&rsquo;effondre.
Le personnage de Moses Ingram, Daughter, ne manque pas non plus de se d&eacute;marquer. Elle porte notamment une robe abricot cr&eacute;&eacute;e sp&eacute;cialement pour le film, ainsi qu'un tailleur cr&egrave;me inspir&eacute; de la collection Haute Couture Printemps-&Eacute;t&eacute; 2020. Ce dernier, port&eacute; vers la fin du film, symbolise l&rsquo;acceptation et l&rsquo;int&eacute;gration dans cette famille en crise. &Agrave; travers cette tenue, le film illustre le renoncement au pass&eacute; pour embrasser un avenir incertain mais solidaire, dans un espace o&ugrave; l&rsquo;illusion et l&rsquo;imagination prennent le dessus.

Une &oelig;uvre audacieuse, port&eacute;e par des talents exceptionnels

The End puise sa force dans son audace artistique, son urgence sociale, et dans les performances remarquables de ses acteurs, emmen&eacute;s par la magistrale Tilda Swinton. Avec ce film, Joshua Oppenheimer ne se contente pas de proposer un spectacle visuel saisissant ; il incite les spectateurs &agrave; r&eacute;fl&eacute;chir sur les menaces r&eacute;elles auxquelles nous faisons face, tout en rappelant l&rsquo;importance de l&rsquo;amour, du pardon et de la solidarit&eacute;.
Le soutien de Chanel &agrave; cette &oelig;uvre embl&eacute;matique va bien au-del&agrave; du simple partenariat ; il s'agit d'une collaboration cr&eacute;ative qui met en lumi&egrave;re les valeurs profondes de la Maison : l&rsquo;engagement envers l&rsquo;art, l&rsquo;innovation et l&rsquo;humanisme. Le film r&eacute;sonne comme une invitation &agrave; repenser notre relation &agrave; la plan&egrave;te et aux autres, tout en c&eacute;l&eacute;brant la beaut&eacute; comme ultime refuge dans un monde en pleine d&eacute;rive.

Chanel soutient "The End", un film dystopique de Joshua Oppenheimer avec Tilda Swinton

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